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Mercedes-Benz présente le GLB 2020

2020 Mercedes-Benz GLB | Photo: Mercedes-Benz

L’industrie automobile au grand complet est réellement en train de passer du côté utilitaire. Chaque semaine – ou presque –, un nouveau modèle surélevé voit le jour comme s’il n’y avait pas encore assez de choix sur nos routes.

Le plus récent multisegment à s’ajouter à cette très longue liste de VUS s’appelle GLB et vient s’immiscer tout juste entre le GLA et le GLC au sein de la gamme du constructeur Mercedes-Benz. Le nouveau venu respecte bien entendu le design des plus récents modèles de la marque, mais avec une carrure plus marquée, il faut l’admettre. Le constructeur veut clairement donner à ce nouveau modèle des airs de 4×4 pur et dur, et ce, malgré le fait qu’il partage sa plateforme avec les petits véhicules de la marque (Classe A, CLA et GLA).

Le GLB se démarque également par la possibilité de commander une troisième banquette au carnet des options. Mais, étant donné la taille de ce petit VUS, l’espace risque d’être compté à l’arrière du véhicule. Quant au volume du coffre lorsque cette banquette est relevée, disons seulement qu’il n’est pas très volumineux. Mais bon, il s’agit davantage d’une banquette pour dépanner à l’occasion, soyons francs.

Sous le capot, le GLB fait une fois de plus confiance au moteur 4-cylindres de 2,0-litres de cylindrée d’une puissance de 221 chevaux et 258 lb-pi de couple. Accouplée à ce dernier, la boîte automatique à huit rapports est livrée d’office avec les quatre roues motrices du système 4MATIC, un rouage qui, rappelons-le, est très populaire au pays.

Comme c’est de mise à bord des véhicules de la marque à l’étoile d’argent, le conducteur aura la possibilité de modifier le comportement du véhicule grâce aux modes de conduite Eco/Comfort, Sport et Off-Road.

À l’intérieur, les habitués des récents produits de la marque seront en terrain connu, car le GLB repose sur la même plateforme que les autres modèles compacts. L’arrivée du Mercedes-Benz GLB 250 4MATIC est prévue un peu avant la fin de l’année, et il ne serait pas surprenant de voir apparaître des variantes plus sportives révisées par l’aile AMG dans un avenir rapproché.

GMC Canyon 2019 : assez pour faire une différence?

2019 GMC Canyon Elevation | Photo: William Clavey

BOLTON EST (Cantons-de-l’est) – Il faut donner le mérite à General Motors. Lorsque le constructeur a importé ses Chevrolet Colorado et GMC Canyon en Amérique du Nord, il s’est confortablement taillé une place dans le segment des camionnettes intermédiaires.

Aujourd’hui, ce type de camionnette reprend du gallon avec de nouveaux véhicules comme le Jeep Gladiator et le Ford Ranger, sans oublier le Nissan Frontier, qui sera entièrement changé l’année prochaine, ainsi que le bizarroïde, mais très compétent Honda Ridgeline.

Même avec de nouveaux concurrents dans l’arène, le duo GM demeure performant au palmarès des ventes. Plus de 180 000 unités furent vendues sur notre continent l’année dernière. Il est donc clair que le Colorado et le Canyon se portent bien.

Cela dit, le fait que le Canyon/Colorado se vende à profusion n’a pas empêché GM de leur apporter quelques nouveautés. L’une d’entre elle est un nouvel ensemble qu’on appelle Elevation qu’on a eu l’occasion de mettre à l’essai sur les routes des Cantons-de-l’Est.


Il faudra attendre encore quelques années

2019 GMC Canyon Elevation | Photo: William Clavey

Le succès des GMC Canyon / Chevrolet Colorado est tellement marqué, que GM a tout simplement annulé la mise à jour qui était prévue pour l’année-modèle 2020. Il faudra attendre jusqu’en 2021 pour une toute nouvelle camionnette intermédiaire chez General Motors.

En attendant que cela se produise, nous devons faire avec toutes les qualités, et tous les défauts d’un camion qui est avec nous inchangé depuis quatre ans. Cela signifie qu’en 2019, il n’est toujours pas possible d’équiper votre Canyon d’un bouton de démarrage, d’un toit ouvrant ou d’un déverrouillage sans clé, ni de s’attendre à la qualité d’assemblage d’un « pickup » moderne.

Au moins, le Canyon demeure un bon petit camion, capable de remorquer jusqu’à 7 700 lb (3 493 kg), faisant de lui le plus fort du segment.  Trois moteurs sont au menu, une qualité non offerte par la concurrence. Les déclinaisons de base sont alimentées par un quatre cylindres de 2,5 litres, délivrant 200 chevaux et un couple de 191 lb-pi.  Un moteur turbodiesel Duramax, avec couple de 369 lb-pi sert aux besoins ouvriers. Un V6 de 3,6 litres – le moteur le plus populaire de la gamme -, s’offre sur les déclinaisons mieux équipées, développant 308 chevaux et un couple de 275 lb-pi.

Notre modèle d’essai était alimenté par le V6, associé à une boîte automatique à huit rapports. L’ensemble Elevation, qui se détaille 680 $, ne peux être ajouté que sur les déclinaisons SLE Crew Cab à boîte courte, équipées du V6, ou du Duramax.

C’est un ensemble purement esthétique qui ajoute des roues noircies de 18 pouces enveloppées dans des pneus quatre saisons P265/60R18, une grille également noircie, et un contour de grille peint de la même couleur que la carrosserie. Contrairement à son grand frère, le Sierra Elevation, qui s’offre avec un moteur quatre cylindres turbo, rien ne change sous le capot d’un Canyon Elevation. Au moins, l’ensemble ne coûte pas très cher…


Sur la route

2019 GMC Canyon Elevation | Photo: William Clavey

Bien que le Canyon commence à prendre de l’âge, nous apprécions néanmoins sa dynamique de conduite marquée. Certes, le design de sa planche de bord semble venir tout droit d’une autre décennie, et les plastiques bon marché éparpillés dans l’habitacle n’ont plus leur place en 2019, mais le Canyon demeure une camionnette agile et agréable à conduire en général.

Parmi le segment des camions intermédiaires, la tenue de route du Canyon se positionne entre celle d’un Toyota Tacoma et d’un Honda Ridgeline. Tandis que le Honda est le plus raffiné du lot par sa conception monocoque, et que le Tacoma se montre plus rude par sa conception rudimentaire à cadre en acier, le Canyon (et le Colorado) mélange harmonieusement les bienfaits de chacun. Il est sportif et raffiné, sans vous en causer des maux de dos.

Nous adorons particulièrement son moteur V6 qui est non seulement doux et puissant, mais qui émet une sonorité marquée, surtout lorsqu’il échelonne les tours/min.  La boîte de vitesses, quant à elle, est sans faille, rétrogradant rapidement lorsque sollicitée, sans hésitation fâcheuse lorsqu’on écrase le champignon. GM se démarque par la calibration de ses boîtes de vitesses, et celle du Canyon ne fait pas exception.

Cependant, bien que son habitacle soit spacieux compte tenu de ses dimensions extérieures, le Canyon est tout de même plus étriqué qu’un Ranger, un Gladiator ou un Ridgeline. Nous ne sommes non plus fervents des sièges en tissu. Ceux-ci sont carrément absents d’un support lombaire.

Au moins, la position d’assise de ce GMC est nettement mieux que celle d’un Toyota Tacoma. Et nous donnons des points à GMC pour son système multimédia simple, efficace et facile à saisir, soit par ses commandes tactiles, ou physiques. De plus, ce système vient de série avec une borne Wi-Fi (sous abonnement), ainsi que la connectivité Android Auto et Apple CarPlay.


Conclusion

2019 GMC Canyon Elevation | Photo: William Clavey

Malgré quelques défauts reliés au fait qu’il soit avec nous depuis l’année-modèle 2015, le GMC Canyon 2019 demeure une excellente camionnette intermédiaire. C’est un petit camion qui demeure attrayant, agréable à conduire, et qui dispose d’assez de flexibilité dans ses déclinaisons et groupes motopropulseurs pour satisfaire toutes sortes de besoins.

Nous nous demandons toutefois pourquoi le Canyon ne se vend pas aussi bien que le Colorado. Bien qu’il performe bien sur le territoire canadien avec des chiffres de vente presque identiques que son cousin, le GMC éprouve de la difficulté à séduire le marché américain.

Si GMC utilisait la même stratégie qu’avec le Sierra, c’est-à-dire d’offrir des variantes exclusives au Canyon, comme la déclinaison AT4 de son grand frère, le Canyon pourrait peut-être mieux se démarquer du Colorado. En ce qui a trait de l’ensemble Elevation, nous ne sommes pas convaincus qu’elle en valle la peine. Si celle-ci offrait une motorisation unique à l’ensemble, comme, par exemple, le quatre cylindres turbo de 2,0 litres du GMC Acadia 2020, le Canyon Elevation serait sans doute beaucoup plus intéressant.


Galerie photos du GMC Canyon 2019

Comment choisir le bon VUS pour vous et votre famille?

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À son arrivée chez les concessionnaires Nissan du Canada en juin 2018, le tout nouveau Nissan Kicks deviendra le tout nouveau choix dans le marché florissant des multisegments compacts abordables – et le sixième de la gamme VUS/Multisegments, dont les ventes ont explosé ces dernières années. (Modèle US illustré)

Présenté par Nissan Blainville

Votre famille grandit, les enfants sont devenus des ados ou vous attendez votre premier enfant, et votre voiture n’est plus capable de suivre la parade. Vous et votre conjointe avez pris la décision de passer à un VUS. Parfait, mais maintenant on fait quoi? Les véhicules utilitaires sport n’ont jamais été aussi populaires et une recherche rapide confirme qu’il existe des centaines de modèles à votre disposition. Chaque segment de VUS, des petits utilitaires urbains abordables aux VUS de grand format de luxe, compte plus de modèles qu’il est possible de compter sur une main.

Il peut être difficile de savoir par où commencer, n’est-ce pas? Il faut donc s’asseoir et analyser nos besoins d’aujourd’hui, mais aussi nos besoins de demain. Peu importe le modèle que nous achetons, il sera dans notre garage pour plusieurs années. Il doit donc être en mesure de suivre la croissance de notre famille et de notre style de vie. Voici donc quelques conseils pour s’assurer de choisir le bon VUS.

Analyser nos besoins d’espace maintenant et à l’avenir

L’achat d’un VUS est dicté principalement par nos besoins d’espace. Ceci dit, il existe plusieurs différents types de VUS des petits modèles urbains aux VUS de grand format en passant par des VUS intermédiaires à deux ou trois rangées de sièges. Que devez-vous transporter sur une base régulière? Combien de passagers? Est-ce que vous avez besoin de plus d’une banquette à l’arrière? Si oui, est-ce que cette banquette sera utilisée occasionnellement ou doit-elle être assez confortable et spacieuse pour une utilisation régulière? Tout cela est important et compte pour beaucoup dans le choix de notre prochain utilitaire sport.

« Ce n’est pas vrai que tous les VUS sont spacieux. Dans un segment comme celui des utilitaires sport compacts, l’espace de chargement dans le coffre varie d’un peu plus de 800 litres à plus de 1 100 litres comme dans le Nissan Rogue. C’est une différence de 300 litres ce qui équivaut à une berline compacte pratiquement. Il faut donc déterminer avec le plus de précision possible nos besoins en matière d’espace pour faire un bon choix de VUS », nous dit un représentant aux ventes chez Nissan Blainville.

Le remorquage est-il nécessaire?

Tous les VUS ne sont pas créés égaux au niveau des capacités de remorquage. Certains VUS peuvent remorquer plus de 5 000 livres alors que certains offerts au même prix dans le même segment ne pourront faire mieux que 2 000 livres. Si nous comptons remorquer souvent avec notre utilitaire sport, il faut trouver les modèles qui peuvent le faire avec confiance.

La conduite hors route ou pas?

Si vous comptez quitter les sentiers battus souvent avec votre VUS, peut-être pour vous rendre au chalet, sachez que le simple fait d’avoir un rouage intégral ne signifie pas qu’un modèle a de bonnes capacités hors route. Il en faut plus que ça. Une recherche en ligne vous permettra de déterminer où se situe un VUS donné dans son segment au niveau des capacités de franchissement.

Il faut aussi déterminer si la traction intégrale est nécessaire. La majorité des VUS ont droit à un rouage intégral, mais il existe des versions à traction aussi. Si vous vivez en ville et n’avez pas besoin de sortir souvent, peut-être que la traction intégrale et ses capacités supérieures en hiver ne sont pas utiles pour vous.

Pour choisir le bon VUS, il faut tout d’abord prévoir nos besoins en matière d’espace ainsi qu’en matière de remorquage. Par la suite, il faut penser à notre utilisation du modèle et nos besoins en matière de traction intégrale et de capacités hors route.

Commencez vos recherches pour un nouveau VUS dès aujourd’hui!

Kia Telluride 2020 : le mouton noir de Kia

 

2020 Kia Telluride | Photo: Kia

À l’époque où les VUS étaient simplement et humblement appelés camions, la vie était beaucoup plus simple. Il n’y avait pas de classement complexe et de hiérarchie des tailles et des intermédiaires, des multisegments, des plateformes à l’infini, etc. Il n’y avait que des voitures, et des 4X4 carrés destinés aux gens qui préféraient soulever la terre sur les pistes au lieu de rester dans les rues de la ville.

Au fil du temps, les fabricants ont arrondi les formes de ces camions, allégé les carrosseries, offert des rouages à traction, et les ont appelés VUS.

Kia a fait l’objet d’une fabuleuse modernisation de son image de marque au cours de la dernière décennie. Pour certaines personnes, ce fabricant coréen est encore une marque qui privilégie la valeur plutôt que le style et la performance. À notre humble avis, ces gens n’ont pas encore conduit un modèle Kia récent.

Le Telluride est le nouveau-né de la gamme Kia, et dès son dévoilement à Detroit au début de l’année, il nous a fait penser aux « camions » qui ont instigué la tendance des VUS.


Le Telluride n’est pas comme les autres Kia

2020 Kia Telluride | Photo: Louis-Philippe Dube

Quiconque ne travaille pas activement dans l’industrie automobile regardera le Telluride et vous le dira : « Ce n’est pas une Kia ». Et c’est l’une des caractéristiques les plus marquantes de ce VUS.

Monter à bord du Telluride est également très révélateur. Les textures et les matériaux ne correspondent pas à ce que le grand public pense d’une Kia. Même si le similibois ainsi que les plastiques ressemblant à l’aluminium peuvent toujours sembler « bon marché » au toucher, ils offrent tout de même un look renouvelé de ce que nous avons connu chez Kia dans le passé.

Toutes les commandes sont positionnées pour optimiser la fonctionnalité ; le tableau de bord est très ergonomique dans son ensemble. Kia n’est pas tombée dans le piège du « tout digital », on a opté pour un hybride entre l’analogique et le numérique, parfait pour quelqu’un qui ne veut pas utiliser un écran pour tout faire.

Du système audio au système de navigation, il est facile de naviguer grâce aux gros boutons situés sous l’écran. Mais c’est aussi possible sur l’écran lui-même et sur le volant multifonctions, que Kia a conçu pour offrir une bonne prise au conducteur.

À l’arrière, l’espace est suffisant pour les jambes et en hauteur pour les passagers. La troisième rangée permet aux passagers de taille moyenne de s’asseoir confortablement. Avec suffisamment d’espace pour un total de huit passagers, s’asseoir sur le siège du milieu de la troisième rangée pourrait par contre s’avérer un peu pénible, selon votre largeur.

Le modèle SX Limité troque la banquette de la deuxième rangée contre deux fauteuils, ce qui donne une configuration ressemblant davantage à une minifourgonnette. Mention spéciale pour le système d’interphone, un dispositif qui amplifie votre voix pour les passagers arrière lorsqu’ils ne sont pas obéissants – ça fait minifourgonnette à souhait, non ?

Dans le département des finances, le Telluride débute à un prix supérieur à la concurrence, soit 44 995 $ pour le modèle de base EX AWD, et peut aller jusqu’à 53 995 $ pour le SX Limité. Le modèle du milieu est le SX AWD qui coûte un peu moins de 50 000 $. Le EX de base est toutefois doté d’une panoplie de caractéristiques de série comme l’assistance à la stabilité de la remorque, l’assistance perfectionnée d’évitement de collision frontale, l’assistance au suivi de voie, l’assistance d’évitement de collision dans les angles morts, l’assistance d’évitement de collision transversale arrière, les phares avant à DEL, phares antibrouillard à DEL et un toit ouvrant.

Opter pour un modèle supérieur apporte plus de luxe et des sièges en cuir véritable, mais aucune différence du côté mécanique, à l’exception de la suspension arrière autonivelante du modèle SX AWD.


Sur la route

2020 Kia Telluride | Photo: Kia

Le Kia Telluride 2020 est alimenté par un V6 de 3,8 litres à cycle Atkinson développant 291 chevaux et un couple de 262 lb-pi. Ce moteur est relié à une boîte automatique à 8 vitesses. Tous les Telluride sont équipés de série d’une traction intégrale.

Malgré une timide hésitation lorsqu’on enfonce la pédale d’accélérateur, le Telluride se montre à la hauteur de ses 4500 livres avec suffisamment d’enthousiasme. Oui, il peut sembler gros et lourd, mais cette impression ne se traduit pas sur la route. Du moins, pas autant que nous l’escomptions. Il enchaine les virages avec dextérité avec un minimum de roulis. La direction est inspirée des produits Kia récents, ce qui lui confère une précision exceptionnelle.

Ceci étant dit, si 8 occupants prennent place à bord et une remorque de 5000 lb est attelée à l’arrière pendant que le Telluride gravite une pente, est-ce que tout sera beau dans le meilleur des mondes ? Nous supposons que oui. Mais attention à la répartition du poids, car l’attelage lui-même du Telluride ne peut dépasser 351 lb de poids.


Conclusion

2020 Kia Telluride | Photo: Louis-Philippe Dube

Le Kia Telluride 2020 nous ramène aux origines du VUS, mais il intègre tout ce dont les véhicules modernes ont besoin pour transporter et divertir 7 personnes qui vous sont chères. Tout comme elle l’a fait avec la Stinger, Kia exploite un marché où nous n’aurions jamais pensé qu’il se présenterait dix ans auparavant. Et tout compte fait, nous sommes persuadés que ce sera une réussite !


Galerie photos du Kia Telluride 2020

GM dévoile le Chevrolet Trailblazer et le Buick Encore GX pour 2021

2020 Buick Encore GX | Photo: Buick

Il y a quelques temps, à l’occasion du Salon de Shanghai, General Motors a dévoilé un quatuor de petits VUS pour ses divisions Chevrolet et Buick. Les Chevrolet Tracker et Trailblazer venaient regarnir l’alignement de la marque en Chine, tandis que du côté Buick, les nouveaux Encore et Encore GX constituaient les deux additions utilitaires de la marque populaire là-bas.

Cette semaine, l’aile nord-américaine a clarifié ce qu’elle entendait faire avec son alignement local. La réponse est simple : il sera plus nombreux, et ce, tant chez Chevrolet que chez Buick!

Le constructeur au nœud papillon ajoute donc le Trailblazer pour l’année-modèle 2021, un VUS un peu plus gros que le Trax, mais un peu plus petit que l’Equinox. Le design n’est pas sans rappeler le récent Blazer, un autre véhicule utilitaire présenté plus tôt cette année. Pour l’instant, on sait qu’il y aura cette livrée RS avec ce toit deux tons, Chevrolet qui a sûrement l’intention d’ajouter des livrées moins cossues.

Chez Buick, c’est l’Encore GX qui se greffe à la gamme déjà très peuplée en VUS. Le nouveau venu est le frère jumeau du Trailblazer pour ce qui est de sa mission, soit de s’intégrer tout juste entre le Buick Encore et le Buick Envision.

On ne connaît pas encore les détails entourant ces deux nouveaux modèles, mais on peut s’attendre à des mécaniques 4-cylindres turbo de petite cylindrée pour propulser ces véhicules de nouvelle facture. On doit aussi prévoir des livrées à roues avant motrices et d’autres équipées du rouage intégral. Quant à la boîte de vitesses envisagée, il est permis de croire que GM fera appel à son unité automatique à neuf rapports.

Les détails seront dévoilés plus tard cette année, les deux nouveaux modèles étant attendus pour le début de 2020, au plus tôt.

2021 Chevrolet Trailblazer RS | Photo: Chevrolet
2021 Chevrolet Trailblazer RS | Photo: Chevrolet
2020 Buick Encore GX | Photo: Buick
2020 Buick Encore GX | Photo: Buick
2020 Buick Encore GX | Photo: Buick

Le VUS inspiré par la Mustang sera dévoilé cette année

Nouveaux véhicules Ford à venir

La dernière annonce officielle à propos de ce multisegment électrique inspiré par la Ford Mustang remonte à plusieurs semaines déjà et le constructeur n’a toujours pas donné de date ou d’information additionnelle sur cette première réelle offensive électrique dans le créneau utilitaire.

Le magazine britannique Autocar, en revanche, affirme que le constructeur de Dearborn va dévoiler un véhicule concept avant la fin de l’année, et que les bonzes de la marque vont divulguer le nom que va porter le modèle de production lorsque ce dernier arrivera sur le marché quelque part en 2020 en tant que modèle 2021.

Le nom Mach 1 a été rayé de la liste, suite à de nombreuses plaintes de la part du public encore attaché au passé de cette appellation liée à la Mustang. Or, le nom Mach-E a également été réservé et pourrait être celui qui sera apposé sur les flancs de ce premier VUS électrique Ford. Il faudra toutefois attendre le dévoilement officiel, car l’enregistrement d’un nom auprès des autorités n’est pas une certitude que ce dernier sera retenu.

Ce qu’on sait jusqu’ici, c’est que ce modèle fort attendu des amateurs de véhicules électriques sera capable de parcourir une distance de 600 km entre les recharges, selon le cycle WLTP. Autrement dit, la distance possible pour le modèle nord-américain sera un peu plus courte.

Il faut aussi s’attendre à un choix d’autonomie, comme c’est le cas pour d’autres modèles électriques. Le consommateur aura donc à choisir la capacité du bloc de batteries pour mieux répondre à ses besoins. Autocar a même affirmé que Ford voulait une livrée de performance, pour faire la vie dure aux versions les plus puissantes de Tesla.

Reste maintenant à savoir si la présentation de ce futur modèle aura lieu au Salon de Francfort à l’automne, ou même au Salon de Los Angeles tout juste avant le temps des Fêtes. À moins que Ford n’ait songé à un autre scénario pour s’immiscer dans le créneau électrique utilitaire.