C’est pour souligner le lancement du nouveau film de la franchise X-Men que le constructeur coréen Kia a décidé de redessiner son utilitaire sport compact, le Sportage. Pour l’occasion, le petit véhicule prend les couleurs de Mystic, la jolie mutante capable de changer de forme au besoin.
Dès le 4 janvier, sur le site www.allaboutsportage.com, les amateurs pourront apercevoir le champion de tennis Rafael Nadal se lancer à l’aventure au volant de sa Sportage mutante, tentant d’attraper le vilain Apocalypse. Sa voiture se transformera au fil de la poursuite, prenant la couleur bleue caractéristique de Mystic, puis affichant un peu de rouge de jaune, et ajoutant des roues de course, et un ensemble de lumière unique.
Il faudra cependant attendre au mois de mai 2016, lors du lancement du film X-Men : Apocalypse, pour officialiser le dévoilement du véhicule, ce qui se fera dans le cadre de l’Open de tennis d’Australie.
Ce n’est pas la première fois que Kia s’associe aux X-Men. Il y a quelques années, le manufacturier avait dévoilé une Kia Sorento aux couleurs de Wolverine. Toute une gamme de véhicule avait aussi été consacrée aux super héros de bande dessinée.
Rappelons que le nouveau Kia Sportage, qui sert de base à la version Mystic, ne sera officiellement lancé sur le marché qu’au milieu de l’année 2016.
Chaque année, le Insurance Institute for Highway Safety (IIHS) américain, l’organisme chargé d’évaluer les capacités de sécurité de tous les véhicules sur le marché, décerne ses prix aux véhicules ayant atteint les meilleurs résultats aux tests de collision. Cette année, les utilitaires sports testés n’ont pas nécessairement été à la hauteur.
L’IIHS classe le véhicule comme un Top Safety Pick quand il obtient de bonnes notes lors des essais de résistance du toit, des tests de l’appuie-tête, et des tests de chevauchement frontal partiel. Il doit aussi avoir mérité la note Acceptable dans les tests de collision frontale.
Pour obtenir la note la plus élevée, soit le Top Safety Pick +, le véhicule à l’essai doit aussi disposer d’une technologie de prévention des collisions avant, au moins en option.
Des tests sérieux
Pour en arriver à ce jugement, les véhicules doivent franchir une série de tests de collision. Ainsi, le test de collision partielle frontale est un accident à 70 km à l’heure où environ un quart de la largeur du véhicule frappe une barrière rigide. Lorsque que l’on effectue un second test, cette fois environ 40 pour cent de la largeur du véhicule heurte un obstacle rigide. Ces tests peuvent être comparés à des véhicules même catégorie pour évaluer l’ensemble des considérations.
Dans l’essai de résistance du toit, une plaque de métal est pressée contre la partie supérieure du véhicule à un rythme régulier. L’IIHS donne également à chaque véhicule une cote de conformité pour les ancrages de sièges d’enfants, évaluant les installations de retenue pour ce type d’équipement.
Les VUS 2016 qui ont passé les tests n’ont pas réussi aussi bien qu’on aurait pu l’espérer. Ainsi, Ainsi, aucun VUS de luxe de taille moyenne n’a remporté la plus haute note.
Voici donc la liste des utilitaires sport les plus sécuritaires pour 2016, selon l’IIHS. Notons cependant que certains classements sont basés sur les résultats de l’année dernière, et qu’un certain nombre de véhicules n’ont pas encore été testés.
Armé de votre pelle, la tuque bien attachée au sommet de la tête, vous vous apprêtez à vivre l’aventure de votre vie : affronter une fois de plus l’hiver avec votre voiture. Vous la savez armée pour le combat (lire ici que vous avez de bons pneus d’hiver et votre inspection mécanique est à jour), mais les petites batailles du quotidien ne sont pas toujours gagnées d’avance. Voici donc quelques détails qui vous feront gagner la guerre.
Armez-vous efficacement
N’oubliez jamais que votre meilleure arme contre l’hiver, c’est vous. Vous devrez y mettre un peu du vôtre pour dégager votre pare-brise et votre voiture de la neige et la glace accumulées. Assurez-vous alors d’avoir en main le meilleur balai et le meilleur grattoir possible. Ne sous-estimez jamais l’épaisseur de votre ennemi la glace.
Utilisez les trucs du métier
Par exemple, on ne vous demandera jamais de laisser rouler votre voiture trop longtemps à l’arrêt. Mais si vous le faites, assurez-vous d’avoir le dégivreur en fonction au maximum. Vous n’avez pas envie de faire cela? Bravo, bon choix. Essayez alors d’utiliser votre lave-glace (résistant aux plus froides températures) et d’en laisser couler quelques larmes sur le pare-brise. Manuellement bien sûr, puisque s’il y a glace, il y a de fortes chances que vos lames d’essuie-glaces soient coincées dedans.
En laissant couler quelques gouttes sur la surface glacée, vous dégagerez un petit coin, qui vous permettra ensuite d’attaquer la surface sournoisement.
Ayez une stratégie
Planifiez vos déplacements, et écoutez la météo. Si on annonce du verglas, une couverture de pare-brise ou un simple carton apposé au même endroit vous éviteront d’inutiles batailles au petit matin.
La guerre se gagne avec les yeux
Les vôtres, et deux des autres. Assurez-vous d’être visible, c’est-à-dire de dégager vos phares avant et arrière, et assurez-vous de voir, c’est-à-dire déneiger toute votre voiture, pas seulement l’indispensable petite section à l’avant.
Avec une telle stratégie, votre guerre contre l’hiver se déroulera sa victime!
Ou enfin, on pourrait le croire, puisque les informations disponibles à ce sujet sont rares et difficiles à obtenir. En fait, le constructeur allemand n’a diffusé qu’une petite image, affichant une portion de véhicule qui serait de dimensions d’un utilitaire sport, ou encore, selon certain, du Combi, ce célèbre microbus que plusieurs amateurs attendent.
Dans les faits, on ignore ce qui se cache directement sous la couverture, Volkswagen étant avare de commentaires et de détails. Toutes les informations disponibles affirment cependant que le constructeur procédera au dévoilement lors du Consumer Electronic Show de Las Vegas en janvier prochain.
VW a aussi affirmé qu’il s’agirait de l’un des véhicules les plus technologiquement avancés de la gamme, affichant notamment une autonomie électrique plus grande que tous les rivaux actuellement offerts sur le marché. On estime que la nouvelle autonomie serait de 400 à 500 kilomètres.
Selon toute vraisemblance, ce véhicule dévoilé en première mondiale serait commercialisé au courant de l’année 2017.
Je suis parfois un automobiliste arrogant. Pas arrogant lorsque le rencontre des gens ou que je discute tout simplement, mais arrogant quand je suis au volant. Le pire, c’est que la plupart du temps (pour ne pas dire la totalité), je ne le fais pas exprès; c’est le véhicule que je conduis qui me donne cette allure. Imaginez alors mon arrogance et mon petit look macho quand j’ai sauté (grimpé serait plus juste) à bord de la camionnette RAM 2500 Power Wagon.
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Parce que, qu’on le veuille ou non, cette camionnette a tout ce qu’il faut pour devenir le Hulk de la route, le Goliath des temps modernes, sans pour autant avoir de faiblesse à la cheville. Le RAM Power Wagon est un Tonka comme en rêve tous les petits garçons, et probablement autant de petites filles : grand, gros et fort.
Grand, ça ne fait aucun doute. Le RAM 2500 a déjà des dimensions imposantes, ajoutez-lui des amortisseurs monotubes à gaz Bilstein surélevés, des roues imposantes de 33 pouces avec pneus tout-terrain, et vous voilà fixés. Le petit conducteur de 1,70 mètre que je suis se devait de s’élancer littéralement à bord de la cabine de la camionnette pour y prendre place.
En l’absence de marchepieds (une nuisance lorsqu’on se déplace hors-route), la descente était encore plus gracieuse. Je me laissais littéralement glisser le long du siège, espérant retomber suffisamment à plat pour ne pas perdre l’équilibre. Je blague, mais à peine. Ma sœur, de quelques centimètres plus petite que moi, a même amené avec elle sa petite échelle pour s’assurer de se hisser à bord sans trop d’effort. Il faut dire que debout, elle se glissait littéralement sous le rétroviseur latéral sans se pencher!
Une mécanique monstrueuse
Sous le capot de ce mastodonte se cache un moteur presque aussi imposant que la camionnette elle-même : un V8 6,4 litres développant la bagatelle de 410 chevaux et 429 livres-pied de couple, le tout jumelé à une boite automatique six rapports. Ainsi équipé, non seulement le Power Wagon est capable de s’imposer en accélération (il ne battra pas de record de vitesse mais ne traine pas non plus sur la route), mais il jouit surtout d’une capacité de travail remarquable.
Il peut, par exemple, remorquer quelque 12 000 livres, transporter jusqu’à 3100 livres de matériaux, et est capable de se tirer d’affaires toute seule, peu importe les conditions, en utilisant le treuil WARN placé à l’avant et qui, je l’admets, s’est avéré utile pour finir de traverser une flaque de boue un peu plus imposante que je ne l’aurais cru.
La véritable trouvaille de ce Power Wagon cependant, c’est sa capacité à rouler n’importe où, ou presque. Pour ce faire, il compte sur un système à 4 roues motrices qui emploie un boîtier de transfert manuel à prise temporaire avec passage à la volée. Concrètement, cela permet de maitriser en tout temps l’adhérence aux quatre roues. Son rapport inférieur de 2,64:1 prouve cette intention.
Soulignons également les différentiels avant et arrière à verrouillage électronique et la barre antiroulis avant à déconnexion électronique qui viennent compléter un système remarquablement efficace.
Habitacle soigné
Outre ses capacités exceptionnelles, le RAM Power Wagon profite, ô surprise, d’un habitacle bien conçu et, comme il se doit, totalement gigantesque. Trois passagers peuvent prendre place à l’avant, et tout autant à l’arrière sur notre modèle d’essai.
La finition, de matériaux solides, ne compromet cependant jamais le confort, et les accessoires, nombreux, garantissent aussi une vie à bord plus qu’agréable. Du nombre, sièges chauffants, pédalier ajustable, et système multimédia Uconnect avec un grand écran d’affichage.
En revanche, le confort et la puissance ne font rien pour la consommation de carburant qui s’avère raisonnable pour un camion de cette dimension, à la condition que le conducteur le soit aussi. Appuyez trop fermement sur la pédale, et vous verrez votre moyenne progresser à la vitesse du son.
Conclusion
Mais voilà, je ne vous ai toujours pas dit pourquoi j’étais arrogant au volant. Avec le Power Wagon, j’ai emprunté quelques sentiers boueux, traversé des champs et des rivières, et franchi presque tous les obstacles. Une fois revenu sur la route cependant, j’avais encore en mémoire cette quasi sensation d’invincibilité, et j’ai eu une propension à pousser un peu la machine, au grand déplaisir des automobilistes qui ne voyaient dans leur rétroviseur que ma gigantesque calandre s’avancer un peu trop rapidement à leur goût.
J’ai cependant aussi appris l’humilité. Alors que je devais me battre pour trouver ma place dans le trafic de l’heure de pointe de la ville, j’ai vu une petite sous-compacte me dépasser, son conducteur me regardant avec un grand sourire moqueur. Sans hésitation, il a trouvé sa route dans l’embouteillage… et je l’ai rapidement perdu de vue alors que mon mastodonte me forçait à rester derrière.
Il faut parfois s’avouer vaincu, même quand on pèse 2500 kilos.
Ce sont les camions et les utilitaires sport qui ont sauvé une fois de plus la mise des ventes automobiles canadiennes au cours du mois de novembre, ce segment enregistrant une hausse de l’ordre de 12,8%, pour un total de 95 120 unités.
En comparaison, la section des voitures a plutôt vu son total chuté de 54 000 à 50 306, une baisse de 7,5%.
Du côté des marques, ce sont sans surprise les trois américains qui dominent, ayant chacun plus de 20 000 unités vendues au cours du mois de novembre, à quelques centaines de différence. Ainsi, General Motors prend le premier rang avec 21 812 véhicules vendues, contre 21 085 pour FCA (Fiat Chrysler Automobile) et 20 685 pour Ford. Dans les trois cas il s’agit d’une augmentation, Ford enregistrant la plus légère avec 0,6%.
Toyota, Honda et Hyundai suivent avec, respectivement des ventes de 14 016 (3,4%) 13 025 (2,3%) et 10 501 (4,4%).
Notons que les hausses les plus importantes sont enregistrées, en pourcentage, du côté Volvo, Land Rover et Lexus qui ont tous des augmentations supérieures à 30%, mais chacun ne vend que quelques centaines de véhicules mensuellement.
Volkswagen, dont les récents déboires ont fait la manchette abondamment, ont vu leurs ventes diminuer de 5,5%, une baisse somme toute raisonnable dans les circonstances.
Seuls Acura (-4%), Jaguar (-12%) et Mercedes-Benz (-1,4%) ont enregistré d’autres baisses de ventes. Smart a aussi chuté de 85%, mais on attend toujours l’arrivée de la nouvelle génération de la voiture qui devrait relancer un peu les ventes de la marque.
Au total, il s’est écoulé plus de 145 426 unités au pays, une hausse de 4,7%, en route vers une hausse annuelle de 2,9% des ventes totales.
